Le protoxyde d’azote est un gaz qui a pour formule chimique N2O. Aussi dénommé Oxyde nitreux, il est présent dans des couches de l’atmosphère. Ce gaz inflammable est incolore. De plus en plus utilisé dans différents domaines, il fait l’objet de plusieurs restrictions et de diverses mises en garde. Dans cet article, nous vous parlerons de l’utilisation de ce gaz et des risques liés à son usage.
L’utilisation du protoxyde d’azote
Les sources premières de l’oxyde nitreux sont les océans et le sol. Cependant, des procédés humains sont aussi à l’origine de sa production. La transformation des engrais, des résidus des récoltes, et bien d’autres produits agricoles contenant l’azote font partie de ces procédés qui le produisent. Rapprochez-vous des professionnels pour tout savoir sur le protoxyde d’azote. Comme nous l’avons évoqué plus haut, le protoxyde d’azote est un gaz utilisé dans des domaines divers. En médecine, il est utilisé pour provoquer l’analgie. C’est-à-dire qu’il est utilisé dans le but de rendre insensible à la douleur physique. Il est commercialisé et utilisé dans la fabrication des cartouches pour siphon à chantilly. De façon détournée, il est souvent utilisé de manière récréative car il produit de l’euphorie chez le consommateur ; d’où son autre appellation de gaz hilarant.
Les risques liés à son utilisation
L’utilisation du protoxyde d’azote comporte plusieurs risques. Étant un gaz à effet de serre, il représente un réel danger pour la couche d’ozone. Il peut demeurer dans l’atmosphère pendant plus d’une centaine d’années. Pour les humains, sa consommation est à l’origine de plusieurs cas critiques. Le protoxyde d’azote peut causer des intoxications, une addiction, des problèmes neurologiques,… Les conseils utiles quant à sa consommation sont d’actualité. Les autorités invitent les promoteurs de la consommation du protoxyde d’azote à être plus responsables. D’ailleurs, une proposition de loi, votée à l’unanimité au sénat, prévoit d’interdire sa commercialisation dans des débits de boissons.